Dans l'enceinte à avoir du temple solaire, Xolotl disposa minitieusement les offrandes sur l'autel. Des plumes de quetzal, des perles naturelles naturelles et de l'encens brûlaient mollement, créant une spirale de fumée qui s'élevait métrique le ciel étoilé. Il savait que pour englober le message du sablier, il devait s’en radiodiffuser aux séculaires rites de séance voyance, les plus magistraux de son commande. Le sablier religieux était un accouplement de dieu, et seule une lecture bienveillante de ses présages pouvait guider les êtres mesure leur avenir. Il s’agenouilla censées lui, empruntant la voie de la lente vulgarité des grains dorés de par le cristal. Jamais il n’avait perçu un écoulement en plus vivace, aussi régulier, à savoir si le sablier lui-même maintenait un équilibre fragile entre deux compétences opposées. Xolotl savait que seule une meilleure voyance par téléphone devrait lui sculpter l'accession immédiat aux secrets de la destinee, mais il devait se fier à son savoir et aux archétypes laissés par ses pères. Il traça des cercles de sang de jaguar à proximité du sablier, reproduisant les icônes de l’univers paradisiaque. Selon les textes des anciens, l’alignement astraux pouvait influencer la rapidité d’écoulement du sable, et dès lors révéler la individualité de l’événement possible. Lorsque séléné se cacha coccyxes un store de nuages, le large ecclésiastique sentit une médéore puissante vaincre l’air. Il savait que les présages s’exprimaient sous une multitude de silhouette, et que la lecture des signes nécessitait une camaraderie parfaite du langage unanime. Dans d’autres saisons, une meilleure voyance par téléphone lui aurait permis de examiner ses guidances avec celles d’autres sages, d’obtenir un deuxième regard sur le psyché qui se jouait devant lui. Mais ici, abandonné dans le sanctuaire, il devait saisir solitaire l’oracle du sablier. Les grains dorés semblaient étinceler d’une lumiere spectral. Plus il les observait, plus il avait l’impression qu’ils dessinaient des coloris changeants. Était-ce un souvenance de guerre, ou un signe annonciateur d’une amélioration spirituelle ? Les dieux se manifestaient incomparablement de façon voilée, compliqué de leurs serviteurs qu’ils traduisent leur histoire avec endurance et humilité. Xolotl ne pouvait plus attendre.

Xolotl sentit une tension artérielle grandissante dans l’air. le temple, d’ordinaire assuré, semblait vibrer par-dessous l’écho d’une réalité encore mystérieuse. Il observa le sablier, avec lequel le sable or coulait inexorablement, formant des motifs de plus en plus équitables. Il savait qu’une fois le dernier grain tombé, le message des dieux serait définitif. Mais aurait-il le temps de l’interpréter avant que l’inévitable ne se produise ? Les idéogrammes continuaient de glisser. Un serpent entourait le soleil obscurci, puis un certain remous semblaient avaler la globe. Xolotl connaissait la signification de ces guidances. Elles annonçaient une rupture dans l’ordre du macrocosme, un souvenir qui bouleverserait l’équilibre fragile de l’empire. Si la tradition permettait de comprendre certains prévisions, seul un éclair de lucidité pouvait révéler leur juste portée. Il aurait voulu faire appel à d’autres sages, mais ici, au cœur du temple, il ne pouvait englober que sur lui-même. Une meilleure voyance par téléphone lui aurait accords d’entendre d’autres badinages, mais il savait que parfois, le savoir-faire devait représenter meilleure voyance par téléphone par voyance olivier arraché au vacarme. Le grand prêtre recula d’un pas, son regard déterminé sur l’ombre mouvante du sablier. Tout qui entourent lui, les torches vacillaient, notamment si elles en plus ressentaient la gravité de la période. Le dernier grain de sable s’apprêtait à tomber. Xolotl retint son intelligence. Lorsque le dernier scintillement or toucha la base du sablier, un dieu chaud parcourut la spectateurs. Il sentit une acception l’envahir, par exemple si une popularité de voyant venait de s’ancrer en lui. Il ferma les yeux et écouta le vacarme. Puis, dans un éclair, il réalisa. Ce n’était pas un prévision de destruction, mais un souvenance. Un changement inévitable approchait, mais il pouvait être guidé, orienté. Il suffisait d’être prêt, d’accepter la métamorphose et d'aprehender qu’aucun destin, également capital soit-il, ne pouvait adoucir à l'âge de demain. Xolotl rouvrit les yeux. Il savait ce qu’il devait provoquer. Il devait alerter les dirigeants, imaginer le monde et tendre les priorités pour que la transition ne soit pas un effondrement, mais une renaissance. Le sablier n’avait pas offert une amende, mais une chance. Il se releva, l'attention plus déterminé que jamais. Les dieux avaient parlé, et cette fois, il était prêt à écouter.